Les gens doivent apprendre à lire. Apprendre à lire, c’est éviter de croire à tout ce que l’on raconte dans les média. Car, plusieurs faits ont confirmé l’existence de cabinets secrets dont la mission c’est de véhiculer de fausses informations sur des individus, des pays ou des entreprises. C’est que l’on vient d’apprendre entre le député français, Hubert Julien-Laferrière et le lobbyiste ami du Qatar Jean-Pierre Duthion. Ce dernier impliqué dans l’affaire d’ingérences étrangères qui secoue la chaine de télévision BFM TV aurait influencé le député français célèbre dans la campagne contre la candidature des Emirats Arabes Unis pour la présidence d’Interpol. Il est aujourd’hui établi que toutes les accusations fallacieuses portées contre le Général Ahmed Nasser Al Raisi étaient fausses. Les révélations viennent confirmer que cette désinformation contre le candidat des Emirats Arabes Unis était sponsorisée.
Dans un article intitulé «Un député lyonnais sous l’influence d’un lobbyiste spécialiste de la désinformation », le site français «Lyoncapitale.fr» traite d’une affaire extrêmement grave qui touche directement un homme politique et non moins député français : Hubert Julien-Laferrière.
Selon l’auteur de l’article, «le député du Rhône, Hubert Julien-Laferrière aurait été sous l’influence d’un lobbyiste spécialiste de la désinformation, œuvrant pour des intérêts étrangers ».
A en croire la même source, «le député (Nupes) lyonnais, Hubert Julien-Laferrière aurait été influencé par un lobbyiste impliqué dans l’affaire d’ingérences étrangères qui secoue la chaine de télévision BFM TV ». La vérité c’est que, cet acteur politique français était à la solde des groupes étrangers qui ont fait de lui leur bras armé vu sa position au sein de l’Assemblée Nationale de France. Il a alors accepté de jouer des rôles peu orthodoxes en toute connaissance de cause.
Par ailleurs, les journaux Médiapart et Libération ont révélé hier que «l’ancien député LREM était très proche de Jean-Pierre Duthion, un lobbyiste qui livrait des sujets clé en main à un journaliste de la chaine d’information en continu, le tout, au profit de clients étrangers ».
Donc les commandes étaient faites par Jean Pierre Duthiontrès proche du député français incriminé. Dans un communiqué qu’il a fait publier hier pour démentir, le député Hubert Julien-Laferrière a reconnu avoir des relations avec ce lobbyiste. Alors, de cette relation est né projet de torpillage de la candidature des Emirats Arabes Unis à la présidence de l’Interpol.
Ainsi, après la commande passée, s’en était suivie une propagande médiatique contre le très compétent Ahmed NaserAl-Raisi actuel président de la police internationale.
Le journal Libération, a rappelé hier que le député français «aurait été très actif pour s’opposer à la nomination à la tête d’Interpol, dont le siège est à Lyon, du général émirati Ahmed Naser Al-Raisi».
Avec la complicité des médias français, une campagne de dénigrement a été lancée à l’époque, contre le candidat des Emirats pourtant fortement soutenu par l’Afrique, le Moyen Orient et l’Asie. Sa victoire était assurée à l’avance, au vu de la détermination des pays du tiers monde, face à la candidate de l’Europe. Des accusations légères sans fondements ont été colportées par ce député français et leurs média complices ont été mis en contribution, pour saboter l’élection du général Al Raisi.
Le député Hubert Julien-Laferrière réussira à enrôler Grégory Doucet pour mener la campagne contre l’actuel président d’Interpol avec le soutien actif d’Amnesty International et la complicité agissante de Human Rights Watch. Le non-dit dans cette affaire était l’ombre du Qatar qui avait coopté le lobbyiste Jean-Pierre Duthion, dont la mission était de torpiller l’élection du candidat des Emirats arabes unis.
Aujourd’hui, avec ces révélations de la presse française, il est beaucoup plus facile de comprendre les dessous des agissements contre les Emirats Arabes Unis lors de l’élection du président d’Interpol. Ensuite, nul n’ignore les relations d’amitié très profondes entre la France et le Qatar tant sur le plan économique, politique, militaire et sportif. Le PSG appartient à Qatar Sports Investment (QSi), une filiale de la Qatar Investment Authority, un fonds souverain dont le directeur général est l’émir qatari Tamim bin Hamad Al Zani.Voilà, l’une des raisons qui ont amené le député Hubert Julien-Laferrière à adresser avec d’autres parlementaires, une correspondance au président de la France Emmanuel Macron. Leur objectif était de convaincre le président français dont le pays abrite le siège d’Interpol de peser de tout son poids pour écarter le candidat des Emirats Arabes Unis.
Maintenant, il est clair que toutes les allégations faites par le député français Hubert Julien-Laferrière et ses acolytes naïfscontre le Général Al Raisi, n’avaient aucun fondement sérieux. Mais en réalité, le sieur Laferriére devait, à travers ces agissements contre les Emirats Arabes Unis, donner des gagesà ses commanditaires. Leur déception a été à la hauteur du beau succès diplomatique des Emirats suite à l’éclatante élection du Général Al Raisi à la tête de l’Interpol.
Aujourd’hui, le parquet financier de Paris devrait ouvrir une enquête pour établir des liens de corruption entre le député Hubert Julien-Laferrière, le lobbyiste Jean-Pierre Duthion et le Qatar. Car, il est évident que tout cela n’a pas été fait gratuitement…
Le député Laferriére a-t-il reçu des pots de vin du lobbyiste Jean Pierre Duthion pour combattre les Emirats Arabes Unis et son candidat le Général Ahmed Nasser Al Raisi ? Seule une enquête du Parquet financier pourrait l’élucider.
Modou FALL