avril 16, 2025
LA SOCIÉTÉ "MY MEDIA GROUP " SOCIÉTÉ ÉDITRICE DU QUOTIDIEN "DAKARTIMES" DERKLE CITE MARINE N° 37. EMAIL: courrierdkt@gmail.com. SITE WEB: www.dakartimes.net.
A la une

AFFAIRE DIAGNE NDIAYE/ ISABELLE ADJIANI : A la presse sénégalaise de cesser de reprendre les allégations mensongères des journaux français

Il s’agit d’un article rafistolé et publié par le journal français «Express » sur Isabelle Adjaniet Diagna Ndiaye en 2018. Dans le fond, rien de sérieux, des affabulations imaginaires qu’un journal respectueux ne devrait pas avoir le courage de publier. Car, la trame de l’article prouve que le sénégalais Diagna Ndiaye n’a commis aucune infraction pénalement répréhensible. Il a juste aidé une connaissance qui était dans le besoin. Comme le ferait n’importe quelle personne, ayant les moyens d’aider, sans contrepartie.

L’on comprend maintenant pourquoi, Monsieur Ndiaye n’accorde aucune sorte d’importance à ces allégations de ces journalistes français, en panne de scoop.

Rien de nouveau dans l’affaire d’Isabelle Adjani. Juste du réchauffé qui n’incrimine nullement Diagna. Seulement, la pressesénégalaise doit cesser d’accorder du crédit à certaines informations publiées par la presse française dont les agissements cachent mal des intentions inavouées. Malheureusement pour cette presse française, elle ne pourra jamais atteindre la blanche colombe.

Qu’avait écrit l’Expresse ? «En examinant les relevés bancaires de l’actrice, les enquêteurs sont tombés sur les fonds reçus d’un conseiller du président du Sénégal : Diagna Ndiaye ».

Il faut relever que ces jugements de valeur du journaliste français Laurent Léger (il est vraiment léger) sur la personne de DiagnaNdiaye lorsqu’il que «la presse locale le présente comme l’un des Sénégalais « les plus respectés à l’étranger », l’affublant de l’adjectif« multidimensionnel » : banquier ». Quelle est la valeur informative de ces petits détails avancés sur ce très respectable DiagnaNdiaye ?

L’auteur de l’article ajoutait que «l’homme est à la fois membre du CIO et président du Comité olympique sénégalais, tout en étant lié au groupe Mimran, un géant de l’agroalimentaire africain ». Quel est l’intérêt de citer le CIO et Mimran dans ce texte qui concerne exclusivement Isabelle Adjiani ? En lisant son article, l’on remarque que son raisonnement a lamentablement vacillé dans tous les sens.

Le journal «Express» avait également évoqué des broutilles, sans aucune valeur informative en indiquant : «alors qu’il accompagnait le président Macky Sall lors d’un voyage à Paris, Anne Hidalgo avait dit de lui : « Diagna est l’ami de la France. » Il est surtout l’ami d’Adjani ».

C’est après avoir fait le tour du monde avec sa plume, que le journaliste auteur du texte, Laurent Léger livrera enfin, ce qu’il considérait comme un scoop en disant : «en 2013, l’intéressé, qui vit autant à Genève qu’à Dakar, a versé 2 millions d’euros sur le compte français de la star ». L’on s’attendait à ce qu’il apporte des preuves sur l’origine illicite de ces fonds. A tout point de vue, prêter de l’argent à une personne, ne saurait être un délit ni en France ni ailleurs dans le monde.

Toujours sur un style subjectif, Laurent Léger ajoutait : «la même année, le conseiller « multidimensionnel » avait convié sa grande amie à sa remise de la Légion d’honneur dans les salons du Quai d’Orsay ». Ces bouts de phrases n’apportent rien de nouveau sur le dossier en question. Car au-delà de la France, Diagna Ndiaye a reçu des distinctions des mains d’autres Chefs d’Etat africains, européens et américains. Alors qu’est-ce la Légion d’honneur français a-t-il à faire dans ce dossier de fisc ?

Selon l’Express toujours, «Isabelle Adjani a dû révéler qu’elle avait signé, le 4 février 2013, un contrat de prêt avec Diagna Ndiaye. Selon le document consulté par L’Express, ce contrat réalisé « dans un cadre amical » et « dans un souci de confort financier de Mademoiselle Isabelle Adjani » matérialise un prêt sur dix ans de 2 millions d’euros, sans intérêts, payable au plus tard à l’échéance du 31 décembre 2022 ». Et après ?

Diagna Ndiaye n’est-il pas libre de prêter son argent ou de faire des largesses à qui il veut ?D’autant plus qu’il ne s’agit nullement d’une origine illicite de ces fonds. Cet honorablesénégalais n’a jamais été cité dans des affaires qui peuvent entacher son honorabilité et sa respectabilité. Et ce n’est pas maintenant qu’il va passer à l’acte. Il a toujours représenté dignement le Sénégal et l’Afrique. Cherchait-on à salir cette icône sénégalaise, cet Africain avec grand «A» ? Les détracteurs de DiagnaNdiaye devraient être endurants, car, ce n’est pas demain la veille du jour qu’ils le verront trébucher dans des futilités.  

« La transaction a été enregistrée par le prêteur au service des impôts des particuliers non-résidents « le 1er mars 2013 sous le bordereau 2013/60 », précise son avocat. « Ce prêt est donc parfaitement connu du fisc, qui en détient un exemplaire dans ses fichiers» ajoutait le journaliste spécialiste des faits divers dans l’Express.

«Selon le conseil de la star, la somme n’avait pas à être déclarée dans ses revenus: « Dans l’hypothèse où le prêt procure des revenus, ces derniers sont à déclarer. Dans le cas inverse, si le prêt n’alimente pas de revenus, il n’y a pas de déclaration de revenus proprement dite à remplir. Ce prêt amical ne procure pas de revenus » avait indiqué le journaliste.

Mais, en quoi la responsabilité de DiagnaNdiaye est-elle engagée, lorsque le bénéficiaire du prêt n’a pas fait sa déclaration au fisc ? Ce n’est pas du rôle du prêteur (Diagna Ndiaye) de déclarer les fonds au fisc.

«A-t-il été néanmoins déclaré formellement via le formulaire 2062 des impôts ? Par le prêteur ou par Adjani ? Le déterminer est l’un des enjeux de l’enquête préliminaire» s’interrogeait l’auteur de l’article qui dévoile ainsi à ses lecteurs, son manque de professionnalisme et son empressement inutile à publier des ragots bons pour la poubelle.

Et Diagna Ndiaye a bien fait de répondre par le mépris, à l’auteur de l’article, le trop léger Laurent Léger, qui cherchait à lui parler, histoire de crédibiliser ses écrits.

Il revient désormais, aux journalistes sénégalais de cesser de reprendre, aveuglément, sans passer au crible, les publications de ces torchons français. Soda SALL/DAKARTIMES

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *