juillet 2, 2025
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Economie

SENEGAL : Les perspectives des politiques publiques 

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Au niveau sectoriel, les orientations, ci-après, ont été retenues pour les prochaines années :  

LA SANTE

L’Etat, en érigeant la santé au rang de priorité de premier ordre, affirme son engagement résolu à faire face aux impératifs de modernisation du système de santé et d’accélération des réformes en vue de la professionnalisation des personnels et de la transformation de la gestion des structures sanitaires.

Ces orientations doivent être accompagnées d’un changement de paradigme qui devra se traduire par le respect du patient et la satisfaction des usagers.

Dans cette optique de concrétiser ces objectifs ainsi que les initiatives du PAP 2A en matière de santé, il est prévu de : 

– renforcer les ressources humaines par le recrutement et la formation de médecins et paramédicaux, en priorité des spécialistes, et leur répartition équitable sur toute l’étendue du territoire national en tenant compte des zones défavorisées de la carte sanitaire ;

– assurer la qualité de la formation du personnel médical par un contrôle et une régulation des écoles de formation dédiées et par la facilitation de l’accès à la spécialisation médicale des médecins ;

– accélérer les réformes nécessaires à la mise en œuvre optimale du programme d’investissements, pour un système de santé résilient et performant ;

– poursuivre l’élargissement et le relèvement du plateau technique dans les formations sanitaires à tous les niveaux de la pyramide : renforcer l’entretien et la maintenance des infrastructures sanitaires, surtout pour les hôpitaux de dernière génération (Touba, Kaffrine, Kédougou et Sédhiou), renforcer leur adaptation aux standards internationaux et procéder à la construction des hôpitaux de Tivaouane et de Saint-Louis et à la reconstruction intégrale de l’hôpital Aristide Le Dantec sur son site actuel ;

– accorder une place primordiale à la lutte contre les maladies à soins onéreux (cancer, Sida, autres maladies chroniques, etc.) avec l’accélération des travaux de la construction du Centre national d’Oncologie de Diamniadio, le renforcement de la prise en charge des malades du Sida et des hémodialysés, pour lesquels il sera élaboré un Plan national de lutte contre les maladies du rein intégrant, entre autres, les mesures actives de prévention et de formation des spécialistes ;

– généraliser les processus de certification qualité des hôpitaux et la mise en application des manuels de procédures harmonisés pour les autres structures de santé (Centres de santé, Postes de santé).

LES FEMMES, LES JEUNES ET LE GENRE

La jeunesse de la population constitue un potentiel pour capitaliser le dividende démographique, permettant au Sénégal de disposer des ressources humaines formées et en bonne santé requises, pour booster la productivité et la croissance de l’économie. 

Ainsi, seront poursuivis les programmes dédiés à l’insertion professionnelle et à la promotion de l’auto emploi des femmes et des jeunes dans le cadre de la politique d’équité territoriale, suivant des modalités souples, allégées et adaptées aux besoins des bénéficiaires. A cet effet, les orientations majeures retenues sont :

• l’insertion et l’emploi :

– l’optimisation du Programme d’urgence «XËYU NDAW ÑI» à travers les Pôles Emploi et Entreprenariat des jeunes et des femmes, l’Agence nationale pour la Promotion de l’Emploi des Jeunes (ANPEJ), le Fonds de Financement de la Formation professionnelle et technique (3FPT) et la Délégation générale à l’Entreprenariat rapide des Femmes et des Jeunes (DER/FJ), l’Agence de Développement et d’Encadrement des Petites et Moyennes Entreprises (ADPME), le Fonds de Garantie des Investissements prioritaires (FONGIP), le Fonds d’Entretien routier autonome (FERA), le Programme de Modernisation des Villes du Sénégal (PROMOVILLES), l’Agence d’Exécution des Travaux d’Intérêt public (AGETIP) et la Convention nationale Etat-Employeurs privés ainsi que l’accentuation d’une communication adéquate et d’un accompagnement efficace des cibles jeunes ;

– la promotion de la vie associative avec l’accélération de l’exécution du programme de réalisation des Maisons de la Jeunesse et de la Citoyenneté, espaces modernes d’éducation citoyenne ; 

– la poursuite de la mise en œuvre du Plan d’Actions prioritaires 2021-2025 de la Stratégie nationale pour l’autonomisation économique des Femmes et des Filles.

• la promotion et la protection : 

– la facilitation de l’accès des jeunes et des femmes au foncier, notamment, celui agricole ; 

– la mise en place d’un guichet spécial « accès des jeunes au logement » dans le cadre du projet « 100 000 logements » ; 

– le développement d’un programme national de valorisation des cultures urbaines ; 

– l’amplification, avec l’écosystème numérique, du soutien aux startups initiées par les jeunes ;

– le développement d’activités génératrices de revenus en faveur des jeunes et des femmes, notamment par le biais de la généralisation du nano-crédit, innovation majeure destinée à faciliter l’accès des femmes et des jeunes à des financements de proximité avec des taux d’intérêt bas.

La réalisation de ces programmes sera sous-tendue par les mesures suivantes :

– l’instauration des semaines de la jeunesse, qui demeurent des moments populaires d’échanges, de communication et d’évaluation des politiques en faveur des jeunes ;

– la consolidation du triptyque « Formation, Entreprenariat et Emploi », comme socle de la stratégie de promotion des jeunes ;

– le renforcement de la formation civique des jeunes à travers les curricula de formation et l’intensification des actions du service civique national rénové ;

– la mise en perspective de l’éducation, la formation, la santé, le sport et l’épanouissement psychosocial des jeunes, dans un environnement marqué par le basculement vers la société numérique et l’insertion socio-économique par l’emploi décent et l’entreprenariat ;

– la consolidation de la vie associative et l’expression culturelle des jeunes par  la promotion des industries culturelles ;

– la poursuite de la mise en œuvre du Programme des Domaines agricoles communautaires (PRODAC) pour promouvoir l’entrepreneuriat agricole et la création massive d’emplois ;

– la généralisation des Centres départementaux d’Assistance et de Formation pour la Femme (CEDAF) ; 

– le développement de l’entrepreneuriat et du salariat féminins ;

– la promotion d’une société sénégalaise débarrassée de toutes formes d’inégalités et d’iniquités de genre ou de discrimination en respect au principe d’égalité des chances et de traitement ;

– la prévention et le développement de politiques efficaces de prise en charge des victimes  à travers la mise en place d’un système intégré et opérationnel de gestion des informations fiables sur les violences basées sur le genre (VBG) et autres pratiques répréhensibles et ;

– la construction du premier centre de prise en charge holistique des victimes de violences. 

L’EQUITE TERRITORIALE

La problématique de désenclavement et d’équité territoriale occupe une place de choix dans les priorités du Gouvernement. Aussi, en vue de favoriser un développement territorial inclusif et harmonieux, l’Etat du Sénégal s’est-il engagé à : (i) poursuivre et amplifier la mise œuvre des politiques novatrices d’équité territoriale et d’inclusion sociale dans les villes et les campagnes avec la réalisation d’infrastructures et services sociaux de base à travers le PUDC, le PROMOVILLES, le PUMA, le PACASEN urbain, le PACASEN rural et le PNDL et (ii) veiller à la mise en œuvre adéquate, au niveau de l’ensemble des structures sanitaires, de la politique de gratuité de dialyse, en vue d’assurer une prise en charge soutenable des patients insuffisants rénaux.

L’ELEVAGE ET L’AGRICULTURE

Dans le sous-secteur de l’agriculture, considéré comme levier essentiel pour l’atteinte de la souveraineté alimentaire et la création d’emplois, l’accent sera mis sur l’amélioration de la productivité avec l’augmentation du financement de la production portée à 70 milliards FCFA en 2022-2023, la poursuite des opérations d’aménagement et d’irrigation au nord et au sud ainsi que le développement des chaines de valeurs, 

Concernant l’élevage, sa modernisation sera poursuivie en s’appuyant sur l’achat de génisses laitières à haut potentiel génétique en vue d’accroitre les productions de lait et de viande dans une perspective de réduire la facture laitière et de se rapprocher de l’autosuffisance en lait et en viande. L’accent sera également mis sur une meilleure efficacité de la politique de stabulation grâce au développement et à la déconcentration de l’opérationnalisation du Fonds de Stabulation (FONSTAB) sur l’ensemble du territoire national et une intensification des cultures fourragères. 

L’EDUCATION ET LA FORME

S’appuyant sur le Programme d’amélioration de la Qualité, de l’Equité et de la Transparence (PAQUET), le secteur de l’Education et de la Formation ambitionne de réaliser sa vision transformatrice orientée vers « un système d’Éducation et de Formation (SEF) pacifié et stable, diversifié et intégré et mettant le focus sur l’égalité et la qualité pour tous, en vue du développement des compétences nécessaires à l’émergence d’un Sénégal prospère et solidaire».

Ainsi, dans le sous-secteur de l’éducation, il est prévu de soutenir, de façon structurelle, les filets de protection pour les élèves. Dans cette optique, les chantiers majeurs porteront sur l’élargissement de la carte scolaire, la généralisation des cantines scolaires, la formation à distance des personnels enseignants, le remplacement des abris provisoires, la résorption du déficit de tables-bancs et le suivi-encadrement des enseignements.

S’agissant du volet enseignement arabe, il est prévu une meilleure impulsion, supervision et coordination des structures et programmes d’assistance multisectorielle aux daaras et aux diplômés de l’enseignement arabe. 

Le sous-secteur de la formation professionnelle envisage le développement d’une offre de formation adaptée aux enjeux et aux défis de l’économie nationale en vue d’améliorer l’accès à l’emploi des jeunes et leur insertion par l’entreprenariat.

Dans cette dynamique, l’Etat s’est fixé comme objectifs : (i) d’orienter 30% des élèves sortants du cycle fondamental dans la formation professionnelle (ii) de renforcer la fonctionnalité des Pôles Emploi et Entreprenariat des jeunes ; (iii) d’accompagner les composantes phares (recrutements, formations et financements) du programme « XËYU NDAW ÑI » et (iv) d’accélérer l’édification des centres départementaux de formation professionnelle.

En outre, en relation avec le 3FPT et les centres de formation dédiés (notamment le centre de Ngaye Mékhé), un dialogue sera engagé avec les professionnels des cuirs et peaux pour la mise en œuvre d’un programme de soutien à la filière.

Concernant l’Enseignement supérieur et la Recherche, les axes concerneront : (i) l’accès à un enseignement supérieur de qualité, orienté vers la qualification et l’insertion socioprofessionnelle ; (ii) l’achèvement des chantiers prioritaires des universités et des instituts supérieurs d’enseignement professionnel ; (iii) la création des universités de Matam et du Sénégal oriental ; (iv) l’optimisation de la gestion des ressources financières des différents établissements ; (v) la maîtrise des budgets et des dépenses de fonctionnement et l’étude des modalités d’apurement de la dette fiscale des universités ; (vi) l’accélération de la transformation digitale des universités et l’intensification de la dématérialisation des procédures et (vii) l’amélioration de la qualité de la prise en charge sociale des étudiants.

LE TRANSPORT

Dans le domaine de la réalisation d’infrastructures routières, autoroutières et ferroviaires, la politique de l’Etat sera poursuivie et amplifiée avec le démarrage des travaux de la seconde phase de la ligne du Train express régional (TER), de Diamniadio à l’Aéroport International Blaise Diagne, la finalisation des travaux du Bus RapidTransit (BRT), la réalisation de l’autoroute Mbour-Fatick-Kaolack, de l’autopont  de Cambérène et le démarrage du projet de l’autoroute du Nord Dakar-Tivaouane-Saint-Louis et du chemin de fer Dakar-Tambacounda. 

Dans le domaine portuaire et du transport maritime, les efforts de l’Etat couplés à ceux d’un secteur privé fort et dynamique seront poursuivis pour hisser notre pays à l’échelle des meilleurs standards internationaux, avec la finalisation du port minéralier et vraquier de Bargny-Sendou et du port du futur à Ndayane.

La modernisation des infrastructures routières et ferroviaires exigera un service de transport adapté à la nouvelle plateforme infrastructurelle. C’est dans ce cadre qu’il sera mis en place, un programme de restructuration du réseau de transport urbain et semi-urbain, avec le renouvellement des parcs automobiles (taxis, gros porteurs, etc.) en conformité avec la redéfinition de l’organisation du fonctionnement du Conseil exécutif des Transports urbains de Dakar (CETUD).

Pour le transport aérien, l’achèvement des aéroports de Saint-Louis et de Matam, ainsi que la mise en service de celui du Cap-Skiringpermettront d’aligner le Sénégal aux normes et exigences internationales en vue de concrétiser la volonté de faire du Sénégal un hub aérien de référence.

L’ACCES A L’EAU ET A L’ASSAINISSEMENT

Il est prévu une stratégie de montée en puissance des actions phares pour faciliter l’accès à l’eau potable et à l’assainissement et inscrirele pays dans la perspective de l’atteinte des ODD. 

Ainsi, pour le sous-secteur de l’eau, l’accent sera mis sur l’augmentation de la production pour alimenter les grands centres urbains comme Dakar, avec l’accélération des travaux du projet de dessalement de l’eau de mer et la réalisation d’une seconde station de surpression d’eau à Mékhé. En milieu rural, l’Etat poursuivra l’exécution de la remise à niveau des systèmes d’alimentation en eau, l’extension et la densification de réseaux et la pose de système de chloration. Des études stratégiques seront également menées en matière de transferts d’eau pour mieux anticiper sur des investissements structurants en zone rurale.

En matière d’assainissement, les efforts actuels seront consolidés pour booster le taux d’accès avec l’exécution du projet de dépollution de la baie de Hann, le renforcement du volet aval du projet de dépollution du nord de la ville de Dakar sur financement de la BID, la finalisation des travaux du projet d’assainissement des 10 villes et le démarrage de la construction de près de 55 000 ouvrages d’assainissement individuels en milieu rural dans le cadre du Projet Eau et Assainissement en Milieu rural  (PEAMIR).  

Relativement aux inondations, le nouveau programme national de lutte préconise, sur la base d’une stratégie préventive et consolidante, la systématisation des opérations pré hivernage et la réalisation des travaux d’assainissement “eaux pluviales”, dans toutes les localités concernées du pays à travers notamment le Projet de Gestion des Eaux pluviales et d’Adaptation au Changement climatique (PROGEP 2).

L’INDUSTRIE

En matière d’industrialisation, la priorité sera accordée à la réalisation des agropoles, le développement de l’industrie pharmaceutique et de la pharmacopée et le développement des industries à forte intensité technologique et d’innovation dont l’économie numérique, les industries d’assemblage et les industries créatives.

L’URBANISATION ET CADRE DE VIE

En raison des enjeux socioéconomiques liés à l’accès aux logements sociaux et à un cadre de vie décent, l’Etat a pris l’option: (i) d’accélérer l’offre en habitat social avec le programme de 100 000 logements pour une production annuelle de 20 000 logements, (ii) de mettre en œuvre des réformes sur les normes de construction pour répondre à un besoin impératif de sécurité des biens et des personnes, (iii) d’assurer une gestion rationnelle de l’espace urbain pour lutter contre le désordre de l’occupation spatiale ; (iv) d’impulser un dialogue territorial constructif avec la ville de Dakar et les autres maires de commune afin de mieux prendre en charge la problématique de la gestion des ordures ménagères et des inondations pour améliorer le cadre de vie des populations.

Il s’agira également de poursuivre l’intensification des investissements pour la modernisation et le développement durable de Dakar et de nos capitales régionales et départementales et de mettre en place des infrastructures aux normes en matière de gestion des déchets solides. 

LA DEFENSE ET LA SECURITE

Des stratégies seront mises en œuvre pour renforcer la sécurité sur les axes et corridors routiers par la création de brigades mixtes de contrôle (police, gendarmerie, douanes, eaux et forêts), intensifier la lutte contre l’insécurité au niveau des communes et agglomérations par l’installation des caméras de surveillance qui sera poursuivie dans la Région de Dakar et étendue aux autres localités du pays. 

Au titre de la lutte contre le trafic illicite et l’usage abusif des drogues, il sera mis en place, une plateforme interministérielle au sein de l’Office central pour la Répression du Trafic illicite des Stupéfiants (OCRTIS).

La densification du maillage territorial sera de mise avec l’érection d’unités de sécurité publique, de brigades de sécurité routière avec la création d’une section de recherches par légion territoriale, d’une compagnie de gendarmerie et d’une brigade de recherche par département, d’une brigade ou d’une communauté de brigade pour chaque arrondissement, etc. 

Un accent sera mis sur la dotation allouée aux forces navales pour leur permettre d’effectuer des missions classiques tout en mettant le focus sur la protection des ressources pétrolières.

Par axe stratégique du PSE, les perspectives se déclineront, ci-après : 

L’axe 1 « transformation structurelle de l’économie et croissance » concentre plus de la moitié des investissements programmés sur la période avec 59%. Parmi les projets phares, on peut citer :

– l’amélioration de la productivité Agricole ;

– le programme de désenclavement des zones de production agricole, rizicole et minière et renforcement de la compétitivité des corridors ;

– le projet  d’appui au Pastoralisme Phase II ; 

– le Train Express Régional Phase II (Diamniadio-AIBD);

– le projet autoroute à Péage Mbour-Fatick-Kaolack ;

– le projet Autoroute du Nord (sections Tivaoune peuhl-Diamniadio-Mékhé, Mékhé-Ndande et Louga-Gandon) ;

– le projet de modernisation des marchés ;

– le projet de Rénovation des Aéroports phase II (Ziguinchor, Tambacounda et Kédougou) ;

– le projet d’appui à l’amélioration de l’accès à l’électricité ;

– le projet Agropole SUD.

L’axe 2 « capital humain, protection sociale et développement durable » qui englobe 30% des investissements publics sur la période, constitue le principal levier de prise en charge des questions de résilience, d’équité et d’accès à l’emploi et à un cadre de vie décent. Les investissements seront orientés vers les projets/programmes suivants :

– Projet de Construction et d’Equipement de la Polyclinique de l’Hôpital Principal de Dakar ; 

– le Projet de réalisation d’une unité dessalement de l’eau de mer aux mamelles ;

– le Projet de remplacement des abris provisoires (lots 2 et 3);

– le Projet de Promotion et de la Gestion intégrée et de l’Economie des Déchets solides au Sénégal (PROMOGED); 

– le Projet d’Appui au Développement des Compétences et de l’Entrepreneuriat des Jeunes dans les Secteurs porteurs (PDCEJ);

– le projet de construction du centre d’oncologie de Diamniadio ;

– le projet de réhabilitation du collecteur de Hann-Fann, de renouvellement de 100 km de réseau d’assainissement et d’acquisition d’équipements ;

– Le Projet Investir dans les premières années pour le Développement Humain au Sénégal (PIPADHS); 

– le Projet de construction de 100 000 logements ;

– le Projet de Reconstruction de l’Hôpital Aristide LEDANTEC;

– le projet de Construction d’une Unité de Production de Vaccin Anti-Covid (MADIBA);

– le Projet de réalisation du centre d’entreprenariat et d’innovation de la Délégation à l’Entreprenariat rapide des Femmes et des Jeunes (DER/FJ) ;

L’axe 3 « gouvernance, institutions, paix et sécurité » qui reçoit 11% des prévisions d’investissement prend en compte les préoccupations relatives à la sécurité sous régionale, la lutte contre les spéculations foncières de même que les questions de gouvernance économique, financière et territoriale. L’investissement portera en priorité sur la mise en œuvre des projets/programmes ci-après :

– le Programme de renforcement des moyens de la défense nationale (Gaïndé 1) ; 

– le Plan d’Urgence de la Gendarmerie ; 

– le Programme de Construction Prioritaire des Services du Ministère de l’Intérieur ; 

– le projet d’Acquisition et Equipement Missions Diplomatiques et Consulaires ; 

– le Programme de Modernisation des Infrastructures/ Ministère de la Justice ; 

– le Projet de renforcement de l stratégie des recettes à moyen terme ;

– le Programme d’Appui à la Modernisation de l’Administration (PAMA) ;

– le Projet de mise en œuvre du Plan national d’Aménagement et de développement territorial (PNADT) ;

– le PACASEN rural.

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