La dynamique de réforme engagée par Mohammed VI se poursuit avec constance et méthode. À travers une gouvernance fondée sur la rigueur et le pragmatisme, le Royaume affirme sa capacité à conjuguer stabilité politique, ambition économique et renouvellement démocratique.
Le dernier Conseil des ministres, présidé à Rabat par le Souverain, illustre une nouvelle fois cette volonté de bâtir un Maroc résolument tourné vers l’avenir. Les orientations royales traduisent en actions concrètes les visions exprimées lors des Discours du Trône de juillet 2025 et de l’ouverture de l’année législative en octobre. Il ne s’agit pas de répondre uniquement aux urgences du présent, mais de poser les bases solides du Maroc de demain, pierre après pierre.
Dans cette perspective, le Royaume ne se contente pas de réagir aux défis : il anticipe, planifie et construit. La vision royale s’inscrit dans une approche globale visant à consolider le modèle marocain de développement, en parfaite adéquation avec les aspirations de la population.
Cette stratégie repose sur deux piliers structurants. Le premier concerne l’adoption de textes législatifs encadrant les échéances électorales de 2026, avec une attention particulière à l’inclusion des jeunes et des femmes. Le second s’articule autour du lancement d’une nouvelle génération de programmes de développement territorial intégré, faisant du Projet de Loi de Finances 2026 une priorité nationale.
Le Maroc avance sans rupture ni hésitation, transformant la volonté de réforme en politiques publiques concrètes, et ces politiques en actions tangibles. L’ambition est claire : une participation politique élargie et inclusive, et un développement qui prend racine dans les territoires.
Le projet de loi de finances illustre ainsi la détermination royale à placer la justice sociale au cœur de la croissance économique.
- Les instructions royales pour 2026 insistent sur un renforcement massif de l’effort budgétaire en faveur de la santé et de l’éducation, pour un montant global de 140 milliards de dirhams, soit environ 14 milliards de dollars.
- Plus de 27 000 postes budgétaires seront créés dans ces deux secteurs stratégiques.
- Les CHU d’Agadir, de Laâyoune et de Rabat entreront en service, tandis que de nouveaux établissements verront le jour à Béni Mellal, Guelmim et Errachidia.
Ces investissements ne sont pas de simples dépenses publiques : ils constituent les fondations d’un capital humain fort, levier essentiel de l’émergence économique et sociale du Royaume.