Depuis quelque temps, la presse est utilisée par des gens qui se disent proches du pouvoir, pour faire chanter des opérateurs économiques. Le chef de file de ce cartel, est un ancien émigré sénégalais qui se présente devant des chefs d’entreprises pour leur proposer ses services de médiateur, uniquement pour leur soutirer de l’argent.
Ces malfaiteurs profitent de la reddition des comptes pour se faire de l’argent par des opérations de chantage et de racket. Partout où ils passent, ils se réclament proche des nouvelles autorités, pour escroquer leurs victimes. C’est ce qui explique tous ces articles publiés dans la presse contre certains hommes d’affaires, qui n’ont pourtant, aucun dossier devant la justice.
Depuis la mise en place du Parquet financier, ces maitres chanteurs ont occupé l’espace public. Ils envoient des messages à certaines personnalités pour les inviter à négocier avec eux pour leur «éviter la prison».
Plusieurs opérateurs économiques ont vu leur nom sali dans les média. Hier par exemple, Tahirou SARR a fait la Une de «l’Observateur ». Et pourtant, jusqu’aux moments où vous lisez ces mots, aucune procédure n’a été lancée contre lui. A la date d’aujourd’hui, la justice n’a ouvert aucune enquête contre lui. L’auteur de l’article qui ne s’est pas approché de l’intéressé, a été certainement induit en erreur par sa source intéressée. D’ailleurs, c’est devenu une pratique courante.
Tahirou SARR n’a aucun reproche à se faire, le dossier des 94 milliards ayant déjà l’autorité de la chose jugée. Les racketteurs peuvent aller voir ailleurs… peut-être chez les libanais. Cependant, les hommes d’affaires ciblés par cette bande de malfaiteurs, doivent déposer une plainte pour escroquerie.
